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À propos


En 2020, Clémence Goubault étudie la photographie à l’Université de Westminster à Londres. En parallèle de ses études de langues anglaise et espagnole puis de littérature, sa recherche visuelle se construit autour de l’autoportrait. À travers le prisme d’une esthétique surréaliste en noir et blanc, le miroir devient son instrument pour questionner l’identité et le monde des apparences. En 2022, elle collabore avec le média En attendant Nadeau. Son travail de critique littéraire montre un intérêt pour l’art de Francis Bacon avec Un peintre se meurt sur La mort de Francis Bacon de Max Porter (Ed. Seuil, 2022). Sa sensibilité littéraire insuffle un langage d’images qui puise dans l’écriture sensorielle de Virginia Woolf. A partir de 2022, sa série Errances miroitées poursuit le leitmotiv du miroir et décline un travail en couleurs. Ses photographies évoluent vers une recherche pictorialiste sur l’effraction du corps au sein du paysage. Elle privilégie les paysages du sud de l’Angleterre, de la Camargue et de la Côte d’Azur. En 2023, à l’issue de son stage de fin d’études à l’Agence VU’, elle achève un mémoire qui questionne la place des mots aux côtés des photographies. Aujourd’hui, elle développe plusieurs projets sur la condition féminine à travers un dialogue d’images et de récits.


| Expositions individuelles |

Mars 2023 : Errances miroitées, MAPRAA, Lyon

Mars 2022 : Miroitement des postures, festival Femmes en Scènes, Nice

|Expositions collectives |

Juin 2023 : Errances miroitées, Galerie Vrais Rêves, Lyon

Décembre 2022 : Du Côté des Regards Intranquilles, Galerie 41, Lyon

| Publications |

Eté 2023 – Leitmotiv du miroir, Margelles N° 14